dimanche 30 août 2015

[Vacances en Bretagne] Visite des parcs à huîtres à Cancale

Par un bel après-midi de marée basse à Cancale, à l'occasion du blogtrip organisé par Sensation Bretagne, j'ai chaussé les bottes, enfilé le short et filé dans les parcs à huîtres en compagnie de ma binôme Mamzelle Laura ainsi que d'une petite équipée de visiteurs, tous embottés, qu'ils soient petits ou bien plus grands. Cette visite guidée documentée est effeectivement menée avec pédagogie par Grégoire Choleau, directeur de l'office du tourisme de Cancale et les plus jeunes y trouveront un intérêt.








Le rendez-vous était donné au bas de la cale au pied du marché à huîtres. Le rendez-vous était aussi donné pour le soleil, incroyablement radieux. Plus de bancs naturels d'huîtres au large, rare est aussi l'huître plate traditionnelle qui a subi nombre d'épidémies et est depuis qu'elle a été réintroduite, cultivée au large, en eau profonde.C'est donc dans l'univers de l'huître creuse, cultivée sur 400 hectares de parcs en baie de Cancale que la visite se déroule. Histoire de l'huître, ostréiculture, récolte, tri par taille, l'heure et demie passe vite, nous donne un point de vue complet sur l'ostréiculture et les spécificités cancalaises. Iode et paysages fabuleux sont au rendez-vous. Marrée remontante aussi : méfiance ! 
Au bout des allées, à l'horizon, le Mont Saint-Michel




Une visite à faire à 360°C, il ne faut pas oublier de se retourner
de temps en temps pour apprécier l'ensemble du paysage.
S'ils suivent le groupe mais pas forcément l'ensemble des commentaires, les enfants prendront plaisir à cette visite. Trouvailles, patouilles, coquilles d'huîtres, leurs petits trésors correspondent aussi à la visite commentée et le guide sait les intéresser et les faire participer.



La marée remontante contraint travailleurs ostréicoles et touristes à remonter, eux aussi. Dard- dard parfois, plus rusée que ces derniers, l'eau s'immisce dans les allées de manière non linéaire. Elle fait cercle, contourne, peut piéger. Les travailleurs le savent eux. Les touristes peut-être moins, alors méfiance.C'est dans le bac de nettoyage des bottes vaseuses que touristes et travailleurs ostréicoles se rencontrent directement. Les uns étant pendant la marée basse contraints à effectuer divers tâches d'entretien, comme retourner les sacs d'huîtres et en enlever les algues mais aussi quand l'heure vient récolter. Les autres se tenant à une distance respectueuse des travailleurs de la force et des tracteurs. Mouettes et goélands lient les deux groupes par des allers et retours forcément intéressés.


La visite se termine où elle a commencé, sur le marché à huîtres, qu'il est alors temps de déguster, citronnées ou non. L'iode leur donnant ce goût si spécifique, qu'il n'est pas la peine d'en ajouter pour rester au plus près de ce mollusque raffiné. 







Visites guidées organisées par l'office du toursime de Cancale  *4€* par personne à partir de 12 ans - gratuit pour les enfants. 
Office du Tourisme de Cancale
44 rue du Port - 02 99 89 63 72
[Vacances en Bretagne] Cancle, Pointe du Grouin, départ du blogtrip Breizhblogueuses * Retrouvez la première partie du blogtrip Ici.

samedi 29 août 2015

A la mer avec Louison Mignon

Dernier week-end avant la rentrée, on file à la mer ! Ici elle n'est jamais très loin, la mer, elle n'est pas si près non plus. Mais on ne compte pas. Car quand le soleil est au rendez-vous, quand de vacances on n'est pas sevrés, quand les sacs de jouets de plage ne sont pas rangés, ni les maillots, ni les tongs, quand de toute façon l'aspirateur n'a pas vu la voiture depuis son retour d'expédition- et quand bien même - on charge, on emporte les sacs, on file. On file à la mer... On prévoit de lire ou de relire en short, de se baigner, de se promener, de prendre le temps, de renifler de l'iode, de capturer des images, d'écrire. On file... On reste en Bretagne. Parce que c'est notre tout. Mais on file...
Dans un grand panier en osier, des livres, un peu de rentrée littéraire pour moi, de celle de cette année, de celle de l'année dernière aussi parce que les piles ont du mal à baisser. Des livres pour les plus jeunes bien entendu dont les deux premiers tomes (on sait déjà qu'un troisième pointe) de Louison Mignon signés Alex Cousseau et Charles Dutertre. Bonheur.


Louison Mignon cherche son chiot. Du haut de ses six ans (et demi), Louison Mignon, une petite fille rousse des fossettes jusqu'aux cheveux, avec des petits points qu'il ne faudrait surtout pas appeler tâches tellement ils sont mignons, est en vacances chez ses grands-parents. La voilà un peu inquiète pour son Papé. Depuis que sa chienne attend des petits, on dirait qu'il déraille. Il parle aux légumes, leur dit des gros mots, alors les tomates rougissent, les cornichons, non. Louison, elle ne parle pas aux légumes. Elle parle à son petit projet secret : son chiot. Enfin son futur chiot. Elle lui raconte sa vie, brosse son autoportrait et patiente aussi, car un petit chiot ne naît pas aussi vite en vrai qu'il ne le fait dans la tête des enfants. Et elle cherche aussi. La cachette de la mère, l'origine de la vie. Pendant qu'Alex Cousseau fait sonner les mots, Charles Dutertre fait bondir les traits. Plus ou moins gros, plus ou moins pleins, ronds cette fois, minimalistes et toujours poétiques. Une touche de couleur savamment dosée offre une atmosphère chaleureuse à l'univers de l'album qui se tisse avec un maillage solide, la terre, les origines, la nature,  l'intergénérationnel, l'imaginaire. Et c'est ainsi que l'on crée le merveilleux. Non qu'Alex Cousseau et Charles Dutertre créent le merveilleux. Et quelle heureuse nouvelle, ce retour de tandem. Et quelle heureuse nouvelle la parution du second tome pour cette rentrée je me demande si je ne l'aime pas encore plus, ce petit dernier. Louison Mignon contre le bandit aux feuilles mortes. L'heure est grave pour Louison Mignon toujours bien entourée par son Papé Gaston, sa Mamé Albertine et son petit chiot enfin né et qui a d'ailleurs trois mois mais toujours pas de nom. L'heure est grave donc, le shérif - Mamé Albertine - est de mauvais poil et elle met - ouste - tout le monde dehors. Tout le monde, c'est le trio, chiot-Louison-Papé, avec son râteau, le Papé. "Il y a les feuilles mortes à ramasser dans la cour", c'est l'automne, les vacances d'automne, même, on dirait. Elles s'entassent autour du vieux tracteur rouillé, les feuilles, pour se tenir chaud peut-être. Louison Mignon décide de construire une cabane, une cabane en forme de tipi. La voilà indienne et le petit chiot devient Petit Poney ! Mais attention au bandit à feuilles mortes, attention au tonnerre aussi qui vitupère depuis la chaumière, il y a les pommes à éplucher. Le cow-boy et l'indien nevont-ils devenir amis pour s'unir contre le shérif qui cherche de la main d'oeuvre mais ne trouve pas âme qui vive pour se dépatouiller avec sa compote ? L'imaginaire des enfants et la relation grand-parentale sont ici remarquablement croqués une histoire tranche de vie dont il n'est pas possible de se lasser. On en veut, on en veut tellement encore des vacances chez Papé et Mamé ! Vivement la suite !


*** Les références ***
Louison Mignon cherche son chiot d'Alex Cousseau et Charles Dutertre - Editions du Rouergue - mars 2015 - 12 € - à partir de 4 ans
Louison Mignon contre le bandit aux feuilles mortes d'Alex Cousseau et Charles Dutertre - Editions du Rouergue - septembre 2015 - 12 € - à partir de 4 ans

vendredi 28 août 2015

Mange ta soupe !

Et tes crudités... On est un peu tôt dans la saison, mais vu le temps, pluie pluie pluie jolie, marres dans les chaussures, j'ai fait un gros splatch dans une flaque d'eau de 15 cm en recommençant le travail lundi dernier. La rentrée ça s'arrose ! Mange ta soupe ! Il est un peu tôt mais ça caille. Et c'est pas parce que tu as le blues du soleil qu'il faut pas mettre ton blouson : ça caille cette semaine, ça caille et on a perdu la lumière ou presque, car elle revient paraît-il demain. Alors je me grouille, mange ta soupe et demain ce sera crudités. Le soleil revient mais tu feras peut-être encore le nez : y a des légumes ! Allez prends ton mal en patience, ne pense pas aux crudités assorties au soleil de demain et ce soir mange ta soupe. Comment ça tu ne veux pas manger ta soupe ? Attention, attention. Tu ne sais pas ce qui arrive aux enfants qui ne mangent pas leur soupe ?  Si tu ne manges pas ta soupe il pourrait t'arriver les mêmes mésaventure qu'à Louis.

Si tu ne manges pas ta soupe d'Ingrid Chabbert et Séverine Duchesne. "Louis si tu ne manges pas ta soupe, tu ne grandiras pas". Rondes lunettes et fossettes, air déterminé et dégoûté, Louis n'a aucune, mais alors aucune envie de manger sa soupe, que le nappe soit à gros carreaux rouges et blancs ou non. Mais sa maman, charmante, jolie chignon au demeurant, en connait un rayon sur les conséquences d'une soupe non mangée. Alors elle liste, mime, égrène, s'amuse presque on dirait. "Tu auras le nez tout vert", une sorcière te jettera un sort, des cheveux sortiront de tes oreilles... Rien n'y fait. Rien de rien. Louis boude, grimace, vocifère, sort de table, se tient n'importe comment, la soupe n'est pas prête d'être mangée ! Mais quand son père entre dans la danse, la donne change et la soupe s'avale toute seule ! Miracle ? Autorité paternelle ? Que nenni ! Ingrid Chabbert ne fait pas tenir l'autorité dans une voix grave. Elle manie en revanche l'humour avec délectation, et on en veut bien encore nous, de la soupe rouge. Celle-ci est d'ailleurs délicieusement servie par une illustratrice aussi facétieuse, Séverine Duchens. Un album à l'esprit très Frimousse, à ne pas rater ça va sans dire !
La princesse aux petits plats d'Annie Marandin et Lucle Placin. Manger, c'est bien. Mais trop ? Vraiment trop trop trop ? C'est son histoire à elle, la princesse aux petits plats. Sa mère meurt alors qu'elle est très jeune. Elle se réfugie dans les cuisines du palais pour noyer sa tristesse et satisfaire sa gourmandise. Elle devient rapidement la meilleure cuisinière du royaume. Très vite aussi elle prend de l'embonpoint. Elle gonfle, gonfle tant que la voilà surnommée Rebondie. Le roi la laisse évoluer dans cet univers en marge de la cours jusqu'à ses 15 ans. L'âge auquel la princesse doit se marier. Appel aux prétendants qui accourent, pas tant parce que Rebondie est jolie - elle ne l'est pas vraiment, ses traits son déformés par ses rondeurs exagérées - mais parce que le sang royal et l'appel du ventre les allèchent. D'ailleurs il le faut bien car la princesse qui ne se laissera pas faire comme ça acceptera pour époux "un homme qui mangera plus que moi". Les prétendants sont testés, gavés et ne tiennent pas la route... Ils sont tous écartés, évincés, pour un leur coup de fourchette un peu trop mou. Ne reste-t-il vraiment personne qui puisse tenir assiette devant Rebondie. Si, un seul, jeune, insouciant, pas vraiment bien éduqué, Jean, chapeau de paille et salopette de travail, petit air de fermier traditionnel. Arrivera-t-il à séduire la belle ? Voici un conte surprenant dans lequel les rondeurs n'empêchent pas de trouver l'âme sœur. Les illustrations signées Lucile Placin sont toujours captivantes, plus débordantes, rayonnantes, riches, denses et touffues que jamais. Il n'y a plus qu'à passer à table !
*** Les références ***
Si tu ne manges pas ta soupe d'Ingrid Chabbert et Séverine Duchesne - Editions Frimousse - 2015 - 13 € - à partir de 4 ans
La Princesse aux petits plats d'Annie Marandin et Lucile Placin - Editions Didier Jeunesse -  Avril 2015 - 12,50 € - à partir de 5 ans

mercredi 26 août 2015

On redémarre tranquillement...

Dans moins d'une semaine c'est la rentrée, les petites courses sont faites, dans la foulée d'un rendez-vous qui mettait le pied à l'étrier, cahiers, crayons, gommes et compagnie, la liste est courte et précise cette année. Mais fois deux. Grenouille quitte la maternelle. Dans moins d'une semaine, c'est la rentrée, on se remet tranquillement aux cahiers, crayons, gommes et compagnie. La liste est large, grand angle, les activités, sont elles à piocher dans des énormes cahiers et à réaliser à la carte, quasiment en autonomie. Tracer des traits, relier des points, écrire une phrase, faire un dessin, colorier, découper, compléter... Dans moins d'une semaine, c'est la rentrée, alors on s'y remet tranquillement, l'heure du coucher s'avance, celle du lever fait un bond en arrière. Dans moins d'une semaine c'est la rentrée scolaire, mais je viens de reprendre le travail, les enfants doivent donc s'adapter et le réveil sonne tôt car il y a centre de loisirs. C'est bientôt la rentrée, les deux mois ont filé vite et pour une fois côté garde, les choses se sont sacrément bien goupillées. Alors merci aux papys et mamies qui s'organisent et se succèdent pour alléger les frais de garde d'un duo épique, bavard et dynamique, pour alléger mon rythme intense aussi.
Bientôt la rentrée, les cahiers, crayons, gommes et compagnie ne nous ont pas vraiment quittés de tout l'été, parce qu'on écrit, crayonne, gomme et compagnie presque tous les jours nous. Pas vous ?

Cet été, pas de cahier de vacances, mais des cahiers gros que dis-je des Très gros cahiers d'activités Montessori édités par Hatier. Tellement bien que je les ai acquis en double pour chaque enfant (6 et 7 ans) s'amuse, joue, bricole, prenne ses marques, choisisse, s'approprie, personnalise, tourne les pages dans un sens ou dans l'autre. Et puis on en a profité aussi pour tester deux nouveautés de la marque de crayons Staedtler, feutres pointes fines et crayons de couleur.

Le très très gros cahier d'activités de Balthazar et de Pépin aussi ! de Marie-Hélène Place et Caroline Fontaine-Riquier. Apprentissages et révisions, divertissements et perspectives sont au programme de ce dense cahier broché à couverture souple et rabats qui propose une multitude d'activités inspirées de la pédagogie Montessori. Découverte du monde, de la nature, géographie, espace, temps, formes, quantités, graphisme, numération, écriture, nombres, lettres, calculs, sons, vocabulaire, définition... Le sommaire est varié et les illustrations d'une grande qualité. Ce cahier peut être proposé aux enfants de maternelle et de début d'élémentaire, plus ou moins jeunes y trouveront forcément chaussures à leurs pieds, car la chaussure, belle mouture, est adaptable. Si ce cahier est un parfait allié pour les grandes vacances, il l'est aussi durant la période scolaire.Et comme de notre côté, on les a fait en dilettante, en formule détente, à la carte, sur des petits temps, qu'ils sont mis en libre-service, ils nous accompagneront encore pour les week-ends, les petites vacances, les mercredis pluie, les dimanches matins pyjamas... Et ils ne seront pas seuls... Ils peuvent être complétés par Le très très gros cahier Montessori des lettres de Balthazar et de Pépin aussi ! des mêmes auteurs qui permet de découvrir les premiers apprentissages de l'écriture et de la lecture. Beaucoup de douceur dans ces illustrations au crayon et couleurs légères qui emmènent l'enfant faire une grande promenade dans l'alphabet. Une lettre, à lire, à regarder, à tracer avec les doigts, à prononcer ou à faire chanter, un mot associé, une illustration et un petit jeu d'observation, tout d'abord. Puis d'autres pages avec la même lettre, d'autres mots encore, des coloriages, des dessins, de la numération, du graphisme, des définitions aussi, des notions de géographie, de zoologie, car la nature et l'univers ne sont jamais bien loin dans la pédagogie Montessori, quels que soient les apprentissages visés... On passe de lettres en lettres avec plaisir, de A comme arrosoir à Z comme zébu.

Plus de 100 activités sont ici proposées dans un cahier qui se termine par des jeux de lecture, de rimes, du bazar dans la cuisine, des jeux de son, des mimes...
Quelques pages en images...




Et il y a même Y comme yourte et la yourte, coïncidence, a été l'un de nos modes d'hébergement estival. C'était bien !
Pour tracer, écrire, dessiner, colorier, faire les contours, raturer, barrer, pointer, nous avons utilisé deux nouveautés de la marque allemande Staedtler. Côté crayons de couleur on a testé les Noris colour. Une surface lisse et mate due à sa matière le Wopex, un procédé de fabrication écologique, et une agréable prise en main permettent précision et bonne tenue du crayon. La palette de couleur est large, 12 coloris, les tons sont élégants, le tenue, ni trop sèche, ni trop grasse, permet un coloriage mesuré et fin grâce longue durée grâce à des crayons de grande qualité disponibles en grande surface et en magasins spécialisés. 
Du côté des feutres, grand bonheur pour l'écriture, le traçage fin et précis des traits, les pleins et les déliés, les contours des illustrations : on a dessiné et écrit avec les Triplus Fineliner, fine pointe. Là encore, élégance et ergonomie, bonne prise en main, toucher agréable, couleurs vives. La minutie possible avec ces feutres (pointe 0,3 mm) offre un large champ d'utilisation - aussi bien à l'école, qu'au bureau ou à la maison - et permet à toute la famille de se mettre à la création (ou à l'écriture colorée des cartes de vacances, des papiers administratifs de rentrée, de l'art thérapie...). Le choix des couleurs est adapté à une utilisation large, capuchon sur le stylo, l'encre est Dry Safe ce qui signifie que le feutre peut rester plusieurs heures sans bonnet et sans sécher ! Coup de coeur pour les deux pochettes qui vont rester à la maison, mais déjà des "soeurs" sont acquises pour mettre dans les cartables... avec les crayons à papier de la marque, très appréciés ici aussi ! C'est bientôt bientôt la rentrée !








*** Les références ***
Le très très gros cahier d'activités de Balthazar et de Pépin aussi !  de Marie-Hélène Place et Caroline Fontaine-Riquier - Editions Hatier-jeunesse - 2006 - 12,20 € - à partir de 3 ans
Le très très gros cahier Montessori des lettres de Balthazar et de Pépin aussi !  de Marie-Hélène Place et Caroline Fontaine-Riquier - Editions Hatier-jeunesse - 26 mai 2015 - 11,95 € - à partir de 3 ans
Noris Colour et  Triplus Fineliner  de Staedtler - mai 2015 - de 1,17 à 1,80 € l'unité - disponibles en lots également - Familiale

  1. La rentrée c'était aussi les années passées ! Lisez ou relisez les chroniques thématiques dans les archives... Vous y retrouverez notamment...

Camille Crocodile de Julie Mercier, illustré par Pierre Crooks, Editions Balivernes pour aborder la toute première rentrée










 La rentrée de Noë d'Anne Loyer et Barroux aux Editions Des Braques pour parler de la rentrée en CP 










 Mon imagier des comptines de la maternelle, de J.P Crespin et B. Davois, illustré par C. Roederer, Editions Gallimard Jeunesse - 
C'est Ici
D'autres chroniques sur la rentrée scolaire par ici ou encore ici